Introduction : Flaubert et ses « minores » : qui lire encore ?

Auteurs

  • Thierry Poyet

DOI :

https://doi.org/10.18352/relief.936

Mots-clés :

minores, gens, Flaubert, scénographie auctoriale, théorie littéraire, esthétique

Résumé

Entouré de nombreux minores tout au long de sa carrière, Flaubert a construit sa scénographie auctoriale non seulement comme une esthétique exigeante mais aussi comme une hiérarchisation des auteurs et des œuvres. Qu’est-ce qu’un maître ? Qu’est-ce qu’un auteur mineur ? La gens Flaubert permet d’interroger ces notions essentielles au moment où la littérature entreprend de se redéfinir, dans la deuxième moitié du XIXe siècle.

 

 

Biographie de l'auteur

  • Thierry Poyet
    Poyet est maître de conférences habilité, spécialiste de la littérature française du XIXe siècle à l’Université Blaise Pascal. Membre du Centre de recherches sur les Littératures et la Sociopoétique (CELIS), il a publié plus de quarante articles et une douzaine d’ouvrages consacrés à l’œuvre et à la correspondance de Flaubert dont il est l’un des spécialistes, ainsi qu’à Hugo, Maupassant ou Maxime Du Camp dont Maxime Du Camp, l’autre romancier, aux éditions Kimé, en 2013. En 2016, il publie aux éditions Belles Lettres Minard-Garnier, La gens Flaubert et réédite, chez Garnier, Théophile Gautier de Maxime Du Camp. Il fera paraître en 2017 un volume collectif consacré à cet écrivain, toujours chez Minard-Garnier dans une nouvelle série thématique, « Minores 19/20 », dont il assure la direction.

Téléchargements

Publiée

19-12-2016

Numéro

Vol. 10 No 2 (2016): Autour de Flaubert

Rubrique

Éditorial

Licence

Tous les articles dans RELIEF sont publiés en libre accès sous la licence Creative Commons Attribution 4.0 International License (CC-BY 4.0). Sous ce régime les auteurs conservent les droits d'auteur mais ils consentent à toute sorte d'utilisation de leur texte pourvu qu'il soit correctement cité.

Comment citer

« Introduction : Flaubert et ses « minores » : qui lire encore ? » (2016) RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 10(2), p. 1–12. doi:10.18352/relief.936.