Jacques Roubaud, piéton de Paris - échantillons de mémoire urbaine
DOI :
https://doi.org/10.18352/relief.68Mots-clés :
Roubaud, Paris, Queneau, Poésie, Mémoire, Forme, Ville, oulipo, arrondissement, quotidien, signe, monuments, ApollinaireRésumé
Jacques Roubaud sillonne depuis plus de cinquante ans le labyrinthe parisien en forme d’escargot. La prose de mémoire du Grand Incendie de Londres, les poèmes de La Forme d’une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humains… chantent une capitale tour à tour honnie et acclimatée, un Paris pluriel qui suscite le pari d’un art poétique prouvant le mouvement en marchant, sans faire l’économie du rythme. Après Baudelaire, Apollinaire, Queneau et bien d’autres encore, Roubaud court et recourt les rues de Paris, en quête de lui-même, planifiant dans la Capitale autant de parcours de mémoire que de trajets poétiques.Téléchargements
Publiée
29-01-2008
Numéro
Rubrique
Articles – dossier thématique
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Comment citer
« Jacques Roubaud, piéton de Paris - échantillons de mémoire urbaine » (2008) RELIEF - REVUE ÉLECTRONIQUE DE LITTÉRATURE FRANÇAISE, 2(1), p. 22–39. doi:10.18352/relief.68.