Flaubert et Du Camp : quelques remarques
DOI :
https://doi.org/10.18352/relief.939Mots-clés :
Maxime Du Camp, Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, L’Art pour l’Art / AutobiographieRésumé
Les spécialistes de Flaubert ont fait de nombreux reproches à Maxime Du Camp et ne prêtent plus guère d’attention à ce qu’il a écrit. C’est une situation très regrettable, qui prive les lecteurs d’informations nombreuses, susceptibles d’éclairer les enjeux mais aussi les impasses et les contradictions du projet esthétique de Flaubert. Quelques cas significatifs sont évoqués dans le présent article, qui se penche plus particulièrement sur la ressemblance entre un passage du livre de Du Camp Le Nil (1854) et les lignes de L’Éducation sentimentale (1869) qui rapportent l’“apparition” de Mme Arnoux.
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